Ou plutôt la première fois que tu le croises ! Je n'en reviens pas, il a des airs de vesse de loup au départ et de "ça qui pue" (comme disait le fils d'ami). Je crois que c'est une chimère de praline de Lyon et de gateau oriental.
Moi non plus, je n'en avais jamais vu, pas même en photo! Belle prise! Je comprends le pourquoi de ce nom. (Cela me rappelle un passage de roman de Barbey d'Aurevilly)
On dirait un bretzel saupoudré de sucre complètement roussi
"Ah ! maintenant, – dit Le Hardouey après un silence, – je vois du monde dans la salle. Ils sont deux et accotés à la cheminée. Mais ils ont le dos tourné, et le jour rouge qui éclairait la salle vient de mourir.
– Allez ! guettez, ne vous lassez, – répétait toujours le berger qui tenait le miroir.
– V’là que je revois ! – dit le fermier... – Il brille une flamme. On dirait qu’ils ont allumé quelque chose... Ah ! c’est du feu dans la cheminée... – Mais la voix de Thomas Le Hardouey s’étrangla, et son corps eut des tremblements convulsifs.
– Il faut dire ce que vous véyez, – dit l’implacable pâtre, – autrement le sort va s’évanir.
– C’est eux, – fit Le Hardouey d’une voix faible comme celle d’un homme qui va passer. Que font-ils là-bas à ce feu qui flambe ? Ah ! ils ont remué... La broche est mise et tourne...
– Et qué qu’y a à c’te brocbe qui tourne ?... – demanda le pâtre avec sa voix glacée, une voix de pierre, la voix du destin ! – Ne vous lassez, que je vous dis... Guettez toujours, nous v’là à la fin.
– Je ne sais pas, – dit Le Hardouey qui pantelait, – je ne sais pas... On dirait un cœur... Et, Dieu me damne ! je crois qu’il vient de tressauter sur la broche quand ma femme l’a piqué de la pointe de son couteau.
– Vère, c’est un cœur qu’ils cuisent, – fit le pâtre, – et ch’est le vôtre, maître Thomas Le Hardouey ! »
La vision était si horrible que Le Hardouey se sentit frappé d’un coup de massue à la tête, et il tomba à terre comme un bœuf assommé. En tombant, il s’empêtra dans les rênes de son cheval, qu’il retint ainsi du poids de son corps, lequel était fort et puissant. Pas de doute que, sans cet obstacle, le cheval épouvanté ne se fût sauvé en faisant feu des quatre pieds, comme disait mon ami Tainnebouy car depuis longtemps l’ombrageux animal ressentait toutes les allures de la peur et se baignait dans son écume."
DANIEL alors reste bien chez toi car ici dans la nuit c'était incroyable le vent et une forte pluie Aujourd'hui rien ne se calme encore Alors regarder cette pluie et rester au chaud BISOU
France a raison: une sorte d'eponge. Pourvu qu'elle soit bio... Tu as essaye de le faire cuire, sans le manger bien sur, pour voir si la couleur virait??
Je n'en ai jamais vu, mais c'est impressionnant !
RépondreSupprimerOu plutôt la première fois que tu le croises ! Je n'en reviens pas, il a des airs de vesse de loup au départ et de "ça qui pue" (comme disait le fils d'ami). Je crois que c'est une chimère de praline de Lyon et de gateau oriental.
RépondreSupprimer@Cergie:Quant à utiliser un barbarisme...
RépondreSupprimerDAniel et bien moi aussi je ne le connais pas
RépondreSupprimerIL ressemble à une éponge usée je trouve et bonjour la couleur
J'adore
Very very curieux ce champignon !
RépondreSupprimerIl a une couleur de bonbon, mais je crois que je préfère ceux que je ramasse en forêt.
Je ne le connais pas non plus il est bizarre
RépondreSupprimerMoi non plus, je n'en avais jamais vu, pas même en photo!
RépondreSupprimerBelle prise!
Je comprends le pourquoi de ce nom.
(Cela me rappelle un passage de roman de Barbey d'Aurevilly)
On dirait un bretzel saupoudré de sucre complètement roussi
Extrait de l'Ensorcelée:
RépondreSupprimer"Ah ! maintenant, – dit Le Hardouey après un silence, – je vois du monde dans la salle. Ils sont deux et accotés à la cheminée. Mais ils ont le dos tourné, et le jour rouge qui éclairait la salle vient de mourir.
– Allez ! guettez, ne vous lassez, – répétait toujours le berger qui tenait le miroir.
– V’là que je revois ! – dit le fermier... – Il brille une flamme. On dirait qu’ils ont allumé quelque chose... Ah ! c’est du feu dans la cheminée... – Mais la voix de Thomas Le Hardouey s’étrangla, et son corps eut des tremblements convulsifs.
– Il faut dire ce que vous véyez, – dit l’implacable pâtre, – autrement le sort va s’évanir.
– C’est eux, – fit Le Hardouey d’une voix faible comme celle d’un homme qui va passer. Que font-ils là-bas à ce feu qui flambe ? Ah ! ils ont remué... La broche est mise et tourne...
– Et qué qu’y a à c’te brocbe qui tourne ?... – demanda le pâtre avec sa voix glacée, une voix de pierre, la voix du destin ! – Ne vous lassez, que je vous dis... Guettez toujours, nous v’là à la fin.
– Je ne sais pas, – dit Le Hardouey qui pantelait, – je ne sais pas... On dirait un cœur... Et, Dieu me damne ! je crois qu’il vient de tressauter sur la broche quand ma femme l’a piqué de la pointe de son couteau.
– Vère, c’est un cœur qu’ils cuisent, – fit le pâtre, – et ch’est le vôtre, maître Thomas Le Hardouey ! »
La vision était si horrible que Le Hardouey se sentit frappé d’un coup de massue à la tête, et il tomba à terre comme un bœuf assommé. En tombant, il s’empêtra dans les rênes de son cheval, qu’il retint ainsi du poids de son corps, lequel était fort et puissant. Pas de doute que, sans cet obstacle, le cheval épouvanté ne se fût sauvé en faisant feu des quatre pieds, comme disait mon ami Tainnebouy car depuis longtemps l’ombrageux animal ressentait toutes les allures de la peur et se baignait dans son écume."
@Miss_Yves: Sans doute un champignon hallucinogène à voir la réaction qu'il engendre !!!
RépondreSupprimerDANIEL alors reste bien chez toi car ici dans la nuit c'était incroyable
RépondreSupprimerle vent et une forte pluie
Aujourd'hui rien ne se calme encore
Alors regarder cette pluie et rester au chaud
BISOU
Déguisé en bonbon à la fraise
RépondreSupprimerDaniel il est beau j'aime cette couleur des bombons alors pour nous super
RépondreSupprimerFrance a raison: une sorte d'eponge. Pourvu qu'elle soit bio...
RépondreSupprimerTu as essaye de le faire cuire, sans le manger bien sur, pour voir si la couleur virait??
DANIEL bonne journée
RépondreSupprimerje vais chercher une barque
BISE
je viens te dire bonsoir DANIEL MAIS sans fraises dsl
RépondreSupprimerBonne soirée