lundi 5 octobre 2015

Normandelière


Des roches noir


Un paysage d'iles lointaines 
Que dire de Pretty Cat qui c'est mis en tête de tout détruire ?
 ☺   ☺   ☺
  
La grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf

Une Grenouille vit un bœuf
Qui lui sembla de belle taille.
Elle qui n’était pas grosse en tout comme un œuf
Envieuse s’étend, et s’enfle, et se travaille
Pour égaler l’animal en grosseur,
Disant : Regardez bien, ma sœur ;
Est-ce assez ? dites-moi ; n’y suis-je point encore ?
- Nenni. - M’y voici donc ? - Point du tout. - M’y voilà ?
- Vous n’en approchez point. La chétive pécore
S’enfla si bien qu’elle creva.
Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages :
Tout Bourgeois veut bâtir comme les grands Seigneurs,
Tout petit Prince a des Ambassadeurs,
Tout Marquis veut avoir des Pages.


                                                                                                          Jean de La Fontaine

☼   ☼   ☼ 

11 commentaires:

  1. Qui est Pretty Cat, Daniel ?
    Une belle roche battue par les vagues et qui ne doit rien à la marée noire

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    1. Très bonne question... du verlan , un petit jeux avec un voisin qui écrit des livres sur la Vendée...

      http://sosnormandeliere.blogspot.fr/2013/12/normandeliere-et-le-vieux-sage.html

      http://www.ouest-france.fr/joseph-tesson-amoureux-de-sa-glebe-et-de-sa-garenne-1852877

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    2. Alors j'imagine que c'est une "private joke" liée à politique locale

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    3. Le poème est aussi une private joke donc...
      La grenouille et le boeuf...

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  2. Cette photo est magnifique, première fois que je vois des rocher noir :)
    Bonne semaine

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  3. Superbes ! ces rochers noirs, on dirait de l'onyx..

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  4. Tu as raison Daniel, les blogs sont très calmes en ce moment...
    En ce qui concerne les trains à vapeur... Lorsque l'on est en vacances (mon mari parle de "conducteurs du dimanche" par exemple mais lorsque l'on regarde le paysage on se traîne aussi sur la route) on a tout son temps pour découvrir.
    Mon oncle m'a raconté que lorsqu'il prenait le train, ce devait être avant la seconge guerre mondiale, parfois le bas-coté prenait feu...
    Comme nous n'avions pas de voiture (mon père détestait conduire) nous prenions le train pour rendre visite à la famille dans les environs d'Epinal (à Remiremont, etc)
    Bises et bonne journée !

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